Bleu, Kyoto, gambare, bla.



Lundi, au matin. Pour une fois, chemin inverse : éclaircie.

Kyoto hier, au Jittoku : on traîna pattes de plomb jusque là-bas — deux heures de trajet ; sommeil manque à l'appel ; froid ; pas de vrai jour de repos, depuis début janvier, avant trois semaines — ; mais excellent moment. 大島保克, comme tantôt — c'était en avril dernier : que cela file —, et nouveau 島巡り de morceaux très peu connus— quelques très jolies chansons. La mélancholie des isles, n'est-ce pas.

Quelques photos quand on aura le temps.

Dans un tout autre registre, on regarde d'un œil ce que donne Travian, browser-game, auquel un élève nous inscrivit d'office... Mouais.


Avant-hier, je regardais d'un œil — l'autre — la télé, qui se trouvait être allumée : se jouait un match de basketball. Je me dis Tiens c'est bizarre un match américain sur la télé jap — infidèle au 頑張れ、日本 ? Mmh. Je doute, regarde mieux : c'était Osaka vs. Okinawa — malgré la quasi-absence de joueurs nippons, qui, vous l'accorderez, entretient la confusion. Eh.

Allez, quelques clichés pour le japon-perdu, et à la douche.


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