Douche Dormir Et bla



Dimanche, au soir. Vu qu'on n'aura pas guère l'occasion demain — enfin, plus tard dans la journée.

La nuit est fraîche ; c'est pas nouveau.

Mon moment préféré dans la journée, c'est tout de même la douche, aux horaires diverses.

Ensuite, c'est tout de même aussi le coucher où, enfin, on peut se poser et ne penser à rien. On s'endort en cinq secondes. C'est pas beaucoup, cinq secondes.

 

Penser à rien c'était une de mes spécialités, dont on n'a plus le loisir. Et penser à rien en couleurs, avec la peinture, qui m'était moins spécialité que plaisir. On y reviendra, on ne sait quand.

Avais-je mentionné la nouvelle mouture du Bento ? Encore plein de choses à y faire, là aussi. Un autre jour.

On a bien du mal, également, à faire que mises en ligne suivent les achats : à peu près trois cents bouquins de retard. J'aurais besoin de vacances pour les passer à bosser : le comble. Plein de livres-photos qu'on aimerait donner à voir et connaître : la photographie japonaise c'est encore un grand brouillard en Occident, à part pour une poignée — une grosse poignée de personnes. Des projets de revues thématiques à ne plus savoir qu'en faire ; on privilégie les notices ces derniers temps. Je dis tout ce qui n'y est pas ; pour ce qui y est, voyez AJB / ULJ — url dans la colonne, à droite. Un peu fatigué.

 

On repense avec un demi-sourire à d'autres temps plus désespérés. Comment de choses vécues capitales peuvent ne rester que de vagues et lointaines ombres ? L'oubli comme réflexe d'auto-défense et de persévérance dans l'être.

Et retard en courrier, commentaire, photos, tri divers.

Quatre matins à Wakayama, cette semaine...

Il faut dormir.



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