Nuages Stérilité Deconstruct Et bla



Dimanche, au matin.

Grand beau, grand frais. On s'essaie au grand format d'image, nouvellement proposé par blogger. Juste parce qu'on n'avait pas d'image carrée pour entêter ce jour. Toutefois un peu trop large pour ma petite fenêtre. Il va falloir commencer de fouiller dans les photos d'octobre. Décalage et retard certains, qu'on ne comblera probablement jamais. Non que ce soit gênant.

J'espère que vous avez apprécié la passionnante recette du bla. C'est un plat tous jours délicieux, facile à faire, au goût unique, dont on ne se lasse, qui a la particularité de n'avoir d'obédience, nationalité ou préférence.

En fait on était diablement occupé. Eh.



À écouter les amies, les connaissances et les relats d'amies d'amies japonaises, il semble que le souci de natalité soit un peu plus complexe qu'on veuille bien le croire. Au-delà des arguments traditionnels, relevés moins par le gouvernement que par la communauté immigrée occidentale, à savoir, les longues heures de travail, le stress, la fatigue, le peu de vie familiale, la différence culturelle, la signification et les raisons variables du mariage et du couple, la prise en compte des frais d'accouchement et d'éducation d'un enfant, et j'en passe, il semble que la biologie ait part à l'affaire : de nombreuses femmes (courez toujours pour obtenir ces statistiques-là, pourtant précieuses) "peinent" à faire des enfants, à savoir, les cas de stérilité mâle (spermatozoïdes anormaux ou trop peu nombreux) ou femelle (ovules, de même) semblent croître, et nombreux sont ceux et celles qui ont recours à l'insémination artificielle, ou à la fécondation quand la précédente se révèle inefficace, ce qui, tout au moins dans le cercle probablement peu représentatif cité supra, arrive presque une fois sur deux. Et forcément, quand on a vécu une fois la procédure de FIV / IVF, on n'a pas guère envie de recommencer. Si vous ne savez pourquoi, documentez-vous quelque peu.

On peut toujours spéculer sur les raisons de cette stérilité relative. Pas au jour d'huy, n'étant pas d'humeur assassine ou médisante. Vous avez une petite idée, de toute façon, n'est-ce pas.



On s'intéresse au phénomène Tim Ferris et sa Four-Hour Work Week. Bel exemple de marketing et d'auto-promotion. Sa magique "déconstruction" des arts et concepts à fin d'apprendre superficiellement n'importe quoi en peu de temps ? je ne vois vraiment pas en quoi cela diffère de la méthode traditionnelle pluri-millénaire de l'analyse-synthèse. Comment faire un commerce de sa personne par le marquage / labeling. Enfin bref, on ne va pas s'éterniser parce qu'on n'a pas que ça à faire — et puis on y reviendra, m'est avis — ; mais au moins il vend du rêve concret, une alternative active et possible. Jusqu'à où, je ne sais, mais bon.

Il faut que je cesse de parler du temps qu'il fait quand il fait beau : ça se couvre. Comment naissent les superstitions. C'est ça, c'est ça.

Allez !



Aucun commentaire: