Cours de rattrapage n°2 : matin, Vanves, souhait de sieste et avant-soir.

Samedi.

Lever tostif et Vanves en foulée.

Censés retrouver N-chan, en retard. On avance sans elle, qui nous retrouva — ce n'est pas si grand, même s'il y a foule : beau temps.

Pas l'intention de chiner — l'œil vif est toutefois en marche.

Par ailleurs rien trouvé. Pas si étonnant : pas mal de marchands (de livres) se fournissent aux mêmes sources (le cauchemar Drouot) ou viennent chiner à Clignancourt...

En revanche, retrouvé la paire de préférés confrères : ça fait plaisir, tailler bavette, qu'est-ce que quoi, un an déjà, etc.

Les filles eurent aussi main heureuse, semble-t-il.

Au retour, on eût aimé sieste ; mais bla poli...

Et au moment où, r'éveillé par les filles, accompagnées par le fils de la sœur, qui, à quatre ans, baragouine du français, ce dont les parents se désolent, qui lui parlent désespérément en japonais, à la maison... Enfin bref.

Ce soir, rebelote chez les libraires associés ; hâte d'y revoir Y, de le présenter à J & Th ; P et son copain — qu'on ne connaît : c'est récent — censés passer ; A sera (peut-être) là.

S'il ne pleut pas, on marchera. S'il ne pleut pas trop, on marchera vite.



— Au retour, à marche vite, avec Y, qui nous raccompagna jusqu'à porte. Beaucoup ri, un peu bu, chouettes cochonnailles et fromageries — très fatigué : dormons.

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