Tajihayahimejinja Hatsumode Ume Et gens


Tajihayahime-jinja (多治速比売神社) est moins souvent pleine que vide.

Ceux qui suivent savent qu'on y passe de temps à autre, n'habitant pas loin. Autrement plus excitant que le Kinkakuji, n'est-ce pas ? Ahem.

Pour les autres, un portail, des infos en anglais (scroll down, boy)(ah, et profitez-en pour jeter un œil sur les autres temples et sanctuaires de Sakai à défaut d'y venir), une carte :


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Enfin bref, c'est quoi ce coup-ci ? Enfin trouvé le temps de trier les photos de janvier dernier, rien que ça. Intempestif, ça tombe bien, les festivals, y compris ceux de début d'année, n'ont pas d'âge, n'est-ce pas.

Bon, le sujet n'étant pas de débattre des traditions, petit tour jusqu'au sanctuaire animé, et à travers le parc Kozen (荒山公園) au retour.


Le coup de la roue de vélo — une larme à la pensée de tous ces vélocypèdes démembrés —, ce n'est pas une coutume autochtone digne de Lévi-Strauss, c'est pour empêcher les corbacs d'y faire ripaille.


Nous y voilà.


Yay, une fête !


Le gardien et père fouettard.
Si vous foutez le bordel, gare à vos fesses, sales gosses !


La population du sanctuaire fait du + 39 000 % pendant une semaine.



Engloutissement de beignets.



La barbe-à-papa ne connaît pas de frontière.
Enfin, peut-être qu'au Butan c'est un peu difficile de s'en procurer.


J'attends que mon copain ait fini de faire sa requête aux dieux.
Bordel ça caille.



Il paraît qu'en Chine ils mangent du chien.
Tu crois que c'est bon ?


À l'attaque. Technique du sage ivre.


Oh, un petit chaperon rouge japonais...




Allez.



Les pierres marquent noms des donateurs et le montant.
Le Japon c'est l'Asie, je vous dis.



Hors chemin, quelques fleurs hivernales.







Et les pruniers en début de floraison.





C'est par-là la sortie.


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