Dimanche (mon samedi), déjà midi.
Il semble que le temps soit clément (quelle pluie hier), qu'il fasse un peu frais (cela n'étonne).
Pas de marché. Une marche, un peu plus tard peut-être.
L'agenda sert de pense-bête et s'effeuille.
T-shirt et café.
Essaim de péniches sur l'Ourcq.
Plutôt décalé dans les horaires, faiblement ajustés sur les jours et les nuits solaires, couche à pas d'heure, en manière de comble du manque de temps à soi et pour soi, temps jeté à la poubelle ou comme si, pourtant, les heures de petit matin se passant en état de fatigue prononcé, improductives.
Aucune envie, parfois, de se lever. Particulièrement sensible à l'enfermement mental. Recherche systématique de la marge de jeu (comme le jeu d'une porte, par exemple), contrariée d'une façon ou d'une autre par la recherche de confort des autres.
Qu'est-ce qui a le plus poussé à Paris en une demi-douzaine d'années ? Pas les collégiennes voyons : elles ont toujours le même âge. Je parlais des Monoprix et Franprix.
Ah, une autre réponse possible est le nombre de jambons humains.
The Million Dollar Homepage.
L'autre jour, un moment excellent, stimulant et trop bref — le temps de deux bières, pensez-vous — en compagnie de Mister Marc Feustel au Bistrot de la Renaissance dans le XVIIIe — chouette endroit par ailleurs. On recommande chaudement l'un et l'autre.
Réflexions relativement à que faire d'AJB, les gens étant fermement convaincus (c'est la génération bobo internet) que l'information est un bien gratuit et dû.
Le chauffage devrait arriver bientôt.
Allez.
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