Il faut laisser les Jeunes s'exprimer Et mon cul


Une petite série (le reste était trop flou) de clichés d'un samedi soir.

C'est bien connu, le samedi soir est le moment où les gens vont s'amuser en ville.
Il s'amusent donc, passent du bon temps, de diverses manières.
Puis vient l'heure de rentrer.
Il y a le Métro et le train, quelles merveilles.
Mais après l'heure c'est plus l'heure. Les moyens alternatifs ne manquent pas : le voiturage, le taxi, le stop, le bus de nuit, et la marche à pied. Ah, j'oubliais le vélo, et cette fantastique invention qui a envahi la capitale et que nous n'avons toujours pas enfourché : le Vélib'.
Pour utiliser le Vélib', il faut une carte d'abonnement, c'est à dire qu'il faut un compte en banque, approvisionné de préférence, et un dépôt de garantie.
Il y a les gens qui en ont, une carte, et ceux qui n'en ont pas. Parfois, tard le soir, ceux-ci souhaitent rentrer avec ceux-là. Une seule solution, on le comprendra bien, s'offre à eux : bourrer le vélo de coups de pied jusqu'à ce que l'encoche qui relie le vélo à la borne se casse.




Dans ce premier cas pratique, ci-dessus, le bonnet n°1 (le beige) possédait une carte ;
le bonnet n°2 (le gris), pas.




Dans ce second cas pratique, j'ai cru un moment que le garçon avait arraché un Vélib' pour impressionner sa copine, sise tranquillement, comme on peut voir. C'était en fait en préparation du trajet en groupe (plus on est plus on rit), les autres deux amis étant déjà fournis.




Au moins trois Vélib's furent vandalisés ce soir là (après, on est allé se coucher).
Les passant font semblant de ne pas voir, de peur de se faire agresser, probablement, ou parce qu'ils n'en ont rien à taper. Ça fait un boucan du diable, des coups de pieds dans des carcasses de vélo, et on se fait insulter à chaque fois. Le contribuable paie la casse, bien entendu.

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