Temps Gynéthanasie Et bla





Vendredi, au soir.

Billet en attente depuis long temps, qu'on attendait de meubler un peu, et puis peu importe, hop.

Hiver typique, grisaille, vent et pluie, dont on se passerait bien.

Pour prendre des vacances permanentes, il suffit d'éteindre la télé et son "smartphone".


Shochu et alcool de yuzu.




Les vents contemporains se saisissent des messages qui peuvent faire vendre et sont l'alpha et l'omega des tempêtes médiatiques, aussi rapidement levées qu'oubliées dans nos ères SNS. En ce sens les "féminicides" ont créé et répondent à cette demande ; c'est un des produits en vogue. (Notons une fois pour toute l'usage erroné du mot "féminicide", qui signifie en français comme en anglais le meurtre d'une femelle humaine parce qu'elle est femelle, ce qui n'est jamais le cas dans ceux cités : querelles, vengeances et jalousies pré-, post-, intra- ou extra-coïtales/maritales...) Les femmes sont les premières à dénoncer la violence physique des hommes et à mettre sur le dos des hommes (entre autres) leur propre goût pour les bad boys (c'est vrai qu'elles n'y peuvent rien, c'est un aspect de leur impératif génique, qui les prompt à trouver les meilleures conditions possibles pour la nidification ; malheureusement toutes les femmes n'ont pas les outils nécessaires pour "décider" en conséquence de cause, car il faut pour cela pouvoir, au moins instinctivement, décrypter la société et savoir ce qui est "fort" dans celle qui est la nôtre, à savoir non la force, mais un certain argent et un certain pouvoir - ce pourquoi ceux-ci agissent comme le miel des mouches) ; qu'en est-il de leur violence, à elle ? insidieuse, non-violente, torture avec les mots, sans relâche ; elle ne se prouve pas au tribunal quand il y a suicide ou meurtre pour la faire taire ; on dira que les hommes sont faibles de céder devant si peu et c'est la exact : de bien faibles créatures, souvent peu équipées face aux tentatives de formatage d'abord, à la torture mentale ensuite : pauvres mâles.

Car le vrai fautif c'est le couple, une pure fabrication sociale, éloignée de nos natures, qui met ensemble des animaux incompatibles sauf en période d'accouplement, que chacun copie sans se poser la moindre question, par peur de la solitude et de la différence (en cela les femmes sont les premières à ne vouloir pas être le clou qui dépasse, se mariant, ayant des enfants, voire divorçant avec un empressement accru à mesure que son cercle social a passé par les mêmes cases). En dehors des chaleurs, les appétences sont radicalement différentes et conflictuelles, aboutissant en vase clos et en dernière instance au "féminicide" tant décrié. C'est, bien sûr, également un phénomène social, car notre société est fondée sur la propriété, de même que notre conception du couple : ainsi la jalousie, fondée entièrement sur le sentiment de propriété (et non un quelconque "amour"). Et en effet, qui est jaloux n'"aime" pas (quand bien même certaines cultures méridionales encouragent la jalousie, comme preuve passionnelle) : encore une bêtise femelle posant des pierres aux fondations du "féminicide".

(Notons que ces deux paragraphes furent écrits il y a quelques mois (on est occupé) et que les "féminicides" ont été complètement éclipsés par cette fausse "épidémie" de corona virus (qui s'apparente fortement à une grippe modeste, y compris pour la mortalité). Moralité : éteignez la télé, censurez les media. Paroles dans le vide, car tous s'abreuvent de peur pour se replier et jeter des pierres.)




Déçu par Knives Out (dont on a deviné la fin dès le début), bien réalisé au demeurant. - On s'est refait les 8 saisons de Game of Thrones ; dommage que la dernière saison soit une catastrophe absolue, avec des épisodes entiers (il n'y en a pourtant pas beaucoup) d'un ennui sans nom (dont les deux batailles). - Doctor Sleep : malheureusement très mauvais.

Si quelqu'un demande à quoi ressemble le vrai Japon, celui qu'on retrouve dans la plus grande part des foyers, il suffit de lui recommander de voir du Kore-eda, comme par exemple Aruitemo Aruitemo (2008): Kore-eda est le génie de la juxtaposition de tous les clichés, passages obligés et autres truismes de toutes les conversations japonaises dans le cadre familial, où chacun rabâche son rôle selon un script convenu, chaque phrase appelant une réponse déterminée : nulle surprise que cela passe bien dans ses films, que ce soit "fidèle" : la famille au Japon c'est un peu beaucoup du cinéma. Pas que ça d'ailleurs.

Allez.




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