Jours en soleil.

Grand beau ce jour encor ; pas même le vent.

La ville qui ne s'étend en hauteur offre certes un contexte différent aux ciels. Les toits eux aussi sont différents, et les cheminées, le réseau de tous ces fils en-l'air.

Promenade avant-boulot, sous peu : autant profiter. Ah, l'escorte arrive : on continuera ceci plus tard.

Au soir. Et donc, petite promenade de quelques heures le long d'un chemin jà parcouru — en compagnie, cette fois : c'est qu'on avait envie de le partager. On fera l'up-load des photos un autre jour.

La génération de la jouissance par l'artifice et de l'artefact qui germe depuis une vingtaine d'années — ils ne savent pas que tout est déjà dans Là-bas. Et l'on sait comment ça finit. La seule différence avec ce qui se passa pour une poignée il y a cent ans, est que l'artifice est "grand public", et que chaque un se prend pour dieu, à l'ors même qu'il fait la même chose que son voisin de palier. A croire que l'Européen ne se peut souvenir de la voie simple, et qu'il a oublié l'en-tour et les choses.

Le parti architectural de certaines bâtisses.

Beaucoup de zeppelins publicitaires, ces derniers temps. Bah, ça permet d'enseigner de nouveaux mots aux gamins.

Le flyer des 5 ans de velo au Club Asia de Shibuya, click click.

La florescence plutôt que l'arborescence.

Hölderlin me manque. Et Douve. Envies de rererelectures.

Se pré-parer ?

Et Montaigne. Eh ?

On aura beau dire, rien ne vaut le papier du XVe et du XVIe. Avant, on ne sait : ça devient un peu moins commun.

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